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les huiles végétales: comment les utiliser?

Les huiles végétales : comment les utiliser?

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Trésor de la Nature, les huiles végétales, complexes dans leur composition, peuvent s’utiliser en externe sur la peau ou par voie orale. Il existe tellement d’huiles différentes, qu’il est parfois difficile de s’y retrouver…

Voici quelques huiles décryptées spécialement pour vous….

Quelles huiles appliquer sur la peau?

Au niveau cutané

Les huiles riches en oméga 9 (Avocat, Ricin) : sont nourrissantes et assouplissantes pour la peau (intérêt pour les peaux très sèches ou cheveux cassants). Notons que l’huile d’avocat est riche en vitamine A, B, D, E H et PP.

Les huiles riches en AG saturés (beurre de coco ou karité) : permettent de créer une barrière protectrice (intérêt si crevasse ou pour créer un bouclier protecteur des agressions extérieures (froid par exemple).

Les huiles avec un rapport oméga 3/oméga 6 élevé : favorisent l’équilibre inflammatoire (Rose musquée, Argan).

Les huiles avec un rapport oméga 6/oméga 9 élevé :  favorisent l’hydratation de la peau en améliorant le ciment intercellulaire (Bourrache, Calendula, Onagre).

D’autres huiles végétales possèdent des propriétés spécifiques liées à la plante dont elles sont issues :

  • Ainsi, l’huile de calendula sera cicatrisante et adoucissante (c’est l’huile des bébés par excellence)
  • L’huile d’arnica aura, elle, des propriétés décontracturantes musculaires. Elle convient donc aux sportifs, ainsi que dans tous les problèmes musculo- ligamentaires.
  • L’huile de germe de blé est quant à elle très riche en vitamine A, D, E et K. Par conséquent, elle s’utilise à chaque fois que la peau est très sèche ou abimée (eczéma, dartres) car elle est régénératrice du tissu cutané, assouplissante et adoucissante. Elle est grasse et se conserve mal.
  • L’huile de calophylle est excellente en cas d’oédème. En effet, elle possède des propriétés drainantes circulatoires liées à ses qualités toniques et protectrices des capillaires sanguins.
  • L’huile de millepertuis, de couleur rouge, est une macération de feuille dans de l’huile de tournesol. Elle est dotée de propriétés anti-inflammatoire et décongestionnnante (entorse, tendinite, problème circulatoire). C’est un excellent cicatrisant en cas de brulure ou de peau rougie, ou bien en cas de circulation sanguine difficile…. Cependant, photosensibilisante, il faut éviter l’exposition solaire après application.
  • L’huile d’argan, composée principalement d’w9 et d’w6, a donc une action tonifiante et regénérante de la peau. Elle restaure le film hydrolipidique de la peau et fournit les éléments structurels aux cellules de l’épiderme. Cela lui confère des propriétés anti âge exceptionnelles.
  • L’huile de jojoba est l’huile des peaux grasses car elle n’obstrue pas les pores de la peau et conserve le film hydrolipidique. Par conséquent, associée à des huiles essentielles, elle est l’allié des peaux à tendance acnéique.
  • L’huile de ricin, est selon mon usage réservée aux soins des phanères (sourcils, ongles) parce qu’elle favorise leur pousse.
  • L’huile de noyau d’abricot est mon huile préférée pour véhiculer les huiles essentielles. Peu grasse, sans odeur, elle pénètre facilement et s’adresse aussi bien aux bébés qu’aux adultes.
  • Enfin, l’huile de Rose musquée riche en w3 et w6 s’adresse aux peaux exigentes, matures qui ont besoin de retrouver fermeté et souplesse.

Quelles huiles végétales sont à privilégier par voie orale et pour quelle utilisation?

Les huiles ont des compositions bien différentes et donc des propriétés variées. Leur utilisation se fera via l’alimentation dans la cuisine, en veillant à ne pas les chauffer ou par absorption orale pure.

On distinguera les huiles riches en w6 et celles riches en w3. On gardera en mémoire la nécéssité de transformation enzymatique et de compétition entre les deux séries d’Omega .

On veillera, à équilibrer ses apports et à garder à l’esprit que la toxicité dépend de la dose utilisée et donc que tout excés est néfaste.

Les huiles riches en w3 :

 Huile de noix, de colza, chia, de chanvre, de lin.

Les huiles riches en w6 :

Huile d’onagre, bourrache, maïs, tournesol, pépin de raisin.

Les huiles végétales les plus équilibrées dans leur rapport w3 et 6 :

Huile de Colza et de Noix. Possibilité de masquer le gout parfois désagréable du colza en réalisant un mélange avec de l’huile d’olive.

Cependant, il est totalement impossible de les utiliser à chaud.

On se souviendra aussi que la viande et toutes les graisses saturées d’origine animale apportent des oméga 6 notamment l’acide arachidonique, ce qui accentue le déséquilibre dans le corps humain.

bienfaits des huiles végétales

Les huiles végétales : quels bienfaits pour le corps?

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Les bienfaits des huiles végétales

Les huiles végétales sont comme les fleurs de Bach un trésor issu de la Nature. Variées, multiples, on en trouve pour tous les goûts, et fournissent à nos organismes ultra sollicités, des composants précieux….

Qu’est-ce que l’huile végétale ?

Une huile est un corps gras liquide à température ambiante. Certains corps gras se présentent sous forme de beurre à nos températures et fondent vers 36-37 degrés. Il s’agit des beurres de cacao et de coco.

Le caractère liquide des huiles végétales relève de la présence dans la structure chimique d’une ou plusieurs doubles liaisons entre deux atomes de carbones. Cela les oppose aux graisses dites saturées (beurres, suif, crèmes) qui ne contiennent pas ces doubles liaisons et qui donc sont solides à température ambiante.

Les huiles végétales supportent mal l’oxygène de l’air qu’elles fixent dans leur structure chimique. Celui-ci est responsable du rancissement et de l’acidité des huiles. Elles sont donc instables à l’air libre. Il en est de même vis-à-vis de la lumière et de la chaleur. C’est pourquoi les huiles sont stockées dans des flacons en verre teintés et ne sont normalement pas utilisées pour cuisiner à haute température.

Les huiles végétales doivent donc être obtenues par pression à froid afin d’éviter toute dénaturation.

Les huiles s’obtiennent à partir de fruits ou de graines oléagineuses.

Composition d’une huile végétale

Une huile se compose de lipides appelés acides gras insaturés. On en distingue deux catégories :

  • Les acides gras (AG) mono-insaturés: les oméga 9
  • Les acides gras (AG) poly-insaturés: les oméga 3 et 6, ainsi que les AG essentiels (AGE) (non synthétisables par le corps humain et devant être fournis par l’alimentation.)
  • On retrouve aussi des insaponifiables. Ce sont des composants non transformés en savon lors d’une réaction d’un corps gras avec un alcalin. Ils entrent dans la composition de l’huile entre 1 et 15%. Leur participation aux propriétés de l’huile est très importante.

On trouve comme insaponifiable :

Polyphénols : resvératrol, flavonoïdes…

Phytostérols : cholestérol, béta sitostérol…

Minéraux : zinc, calcium, magnésium

Les vitamines A, D, E (tocophérols), K

Des enzymes : coenzymes Q10, polyphénol oxydase…

Des esters résineux : lupéol, alpha et béta amyrine (alcools triterpéniques)

Certaines de ces molécules sont anti oxydantes et anti-inflammatoires et justifient de ce fait les propriétés des huiles. Par conséquent, les insaponifiables jouent aussi un grand rôle.

D’où viennent les propriétés des huiles végétales ?

Pour comprendre, les qualités pharmacologiques d’une huile végétale, il faut d’abord connaitre les propriétés des fameux composants majoritaires…les oméga 3, 6, 9….Qu’est-ce qu’un oméga ? pourquoi lui attribue-t-on un chiffre ? quelle différence, au final cela crée-t-il ?Tout cela fait appel à la biochimie…. Je vais tenter d’être le plus simple possible…

Un AG est formé d’une chaine carbonée qui commence par un groupement chimique methyle (CH 3) et qui se termine par un groupement chimique appelé carboxyl (COOH) :

CH3-C-C-C-C-C-C-COOH.

Le chiffre fait référence à la place de la double liaison chimique au sein de la chaine carbonée de l’acide gras. On décompte la position à partir du radical methyle (CH3).Ainsi, quand on parle d’oméga 3 (w 3), cela signifie qu’il y a une première double liaison au niveau du 3ièmecarbone en partant du groupement methyle. C’est identique pour les w6, 9…Ensuite, au sein d’une famille d’oméga (3 ou 6 ou 9) il y a différents AG qui se différencient par leur formule chimique et par leur nombre de double liaison.

Par exemple, au sein des w3 on distingue : l’acide alpha linolénique avec 3 doubles liaisons, l’acide eicosapentaénoïque (EPA) avec 5 doubles liaisons, et l’acide docosahexaénoïque (DHA) avec 6 doubles liaisons…

Dans le cas des w9 il n’y a qu’une seule double liaison en C9, par exemple l’acide oléique. Néanmoins, il faut savoir que les w9 peuvent être formés dans le foie à partir d’AG saturés. Leur carence est donc extrêmement rare.

Dans la famille des w6, on distingue : l’acide linoléique à 2 doubles liaisons qui donne naissance par voie enzymatique à l’acide arachidonique à 4 doubles liaisons.

Les deux grands AGE sont : l’acide linoléique (w6), et l’acide alpha linolénique (w3).

L’acide alpha linolénique donne naissance à l’w3 DHA (apporté aussi par les huiles de poissons). On le retrouve en forte concentration dans la rétine, le cerveau, le testicule, et le sperme. Le DHA est apporté par le lait maternel et via le placenta au bébé. Le fœtus et l’enfant ne peuvent pas le synthétiser.

L’EPA est formé, lui aussi, à partir de l’acide alpha linolénique (w3), par conversion enzymatique. Parfois cette conversion est faible, et on recommande donc d’en absorber dans l’alimentation. On en trouve dans les poissons gras, le krill, dans le varech et bien sûr dans le lait maternel.

L’EPA joue un rôle dans l’amélioration de la dépression et des fonctions cognitives. Il permet aussi de diminuer les réactions inflammatoires et allergiques.

Les oméga 6 (notamment le GLA, Acide gamma linoléique, contenu par exemple dans l’huile onagre, produit à partir de l’acide linoléique) jouent un rôle dans la cicatrisation, la guérison des blessures, le bon fonctionnement immunitaire, et les réactions inflammatoires (vasodilatation) parfois nécessaires.

Les enzymes de conversion ont besoin pour fonctionner de minéraux comme les vitamines B, C, E et du magnésium et du Zinc.

Quelles différences les AG polyinsaturés engendrent ils dans l’organisme ?

En tout premier, il faut savoir que les AGE sont trouvés dans les lipides structuraux de la cellule et semblent être impliqués dans l’intégrité structurale de la membrane mitochondriale, poumon de la cellule. Leur rôle est donc capital.

Le corps humain métabolise les AG par une succession de réactions biochimiques en différents composés actifs comme les prostaglandines (PG), les leucotriènes (LT), les lipoxines (LX) ou les thromboxanes (TX).

On synthétise ces composés actifs à partir de l’acide arachidonique présent dans les membranes cellulaires et produit, pour rappel, à partir de l’acide linoléique (w6). 2 voies métaboliques sont en compétition et produisent, entre autres, soit des composés de la série 2 (PG2, TX2 pro inflammatoire et agrégant plaquettaire) soit de la série 4 (LT4, LX4).

La métabolisation des AGE (w6 et 3) à partir de l’acide linoléique et alpha linolénique est dépendante d’une enzyme (delta 6 désaturase) dont l’activité diminue avec :

  • Stress
  • Sénescence (à partir de 45 ans)
  • Alcoolisme
  • Tabagisme
  • Insuffisance hépatique
  • Hypo-insulinémie
  • Inexistante chez le nourrisson

De plus, cette enzyme est commune à la métabolisation des w3 et 6. Par conséquent, il y a une compétition entre ces 2 voies métaboliques qui favorise la voie de transformation où il y a le plus de matière première (généralement, les w6).

Au niveau biochimique, l’EPA conduit à la formation des prostaglandines 3 et des tromboxanes de la même série (3) ainsi qu’au leucotriène LTB5, puissant anti inflammatoire. PG3 et TX 3 inhibent la libération de l’arachidonate provenant des membranes cellulaires et donc la formation des PG2 (faiblement agrégant plaquettaire) et TX2 (fortement agrégant plaquettaire). Ainsi, au final, grâce à la consommation d’EPA la balance finale penche vers une moindre agrégation plaquettaire.

Par conséquent, une consommation accrue d’w3 conduit à :

  • Moins d’inflammation
  • Plus d’anti-agrégation plaquettaire

D’où un effet bénéfique sur la prévention cardiovasculaire et les inflammations.

Les leucotriènes sont des molécules produites à partir de l’acide arachidonique par la voie métabolique de la lipoxygénase. Certains de ces composés sont de puissants vasoconstricteurs, provoquent des contractions musculaires notamment bronchique (asthme), une stimulation des sécrétions des glandes muqueuses, une augmentation de la perméabilité vasculaire (d’où arrivée d’autres cellules qui entretiennent les phénomènes inflammatoires).Les w3 favorisent les leucotriènes LTB5 anti inflammatoires et ont donc une action anti-inflammatoire démontrée.

Par conséquent, une consommation accrue d’w6 conduit :

  • A la formation de leucotriène LTB4 très pro-inflammatoire
  • Au thromboxane A2 fortement agrégant plaquettaire
  • A la prostaglandine PGI2 faiblement anti-agrégante plaquettaire.

C’est pourquoi on recommande une consommation d’oméga 3 et 6 mais avec un rapport optimal de : 1 oméga 3 pour 4 oméga 6.

Le problème est qu’actuellement, l’alimentation moderne fournit beaucoup plus d’oméga 6 que d’oméga 3 d’où une balance tournée vers l’aspect inflammatogène des oméga 6.

Il faut bien comprendre que les oméga 6 sont aussi importants dans le fonctionnement de l’organisme. Il ne faut pas les diaboliser, simplement comprendre qu’ils sont en compétition avec les w3 au niveau enzymatique, que le taux de conversion des oméga 3 en EPA et DHA est déjà faible et que donc on assiste plutôt à une carence en w3 de nos jours dans nos organismes.

Pour pallier à cette insuffisance, il suffit d’augmenter sa consommation d’huiles végétales contenant des oméga 3 (en général, de l’acide alpha linoléique, donc besoin de transformation enzymatique) ou d’absorber des huiles des poissons gras (dépolluées de métaux lourds) qui apportent directement EPA et DHA.

On ne remplacera jamais un apport via l’alimentation, beaucoup plus biodisponible pour notre organisme que des supplémentations multiples.

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Cure de Printemps, la detox indispensable

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Cure de printemps, la detox indispensable

Vive le printemps ! Les jours rallongent, les bourgeons se développent, la nature sort de son hibernation hivernale… C’est le moment idéal pour prendre soin de vous avec une cure de printemps.

Ménage de printemps

Le printemps est une saison compliquée pour votre organisme. Elle requiert beaucoup d’énergie pour celui-ci d’où une éventuelle fatigue. De plus, les températures remontent et cela provoque un travail supplémentaire pour votre système circulatoire, d’où un risque accru d’AVC, d’infarctus, de phlébite, d’hémorroïdes, ou de sensation de jambes lourdes à cette époque de l’année…
Pour pallier ces risques, je vous propose une cure très simple à réaliser et peu contraignante car vos habitudes alimentaires restent inchangées : la cure de printemps

La cure de printemps aux 100 citrons

Celle-ci permet un nettoyage profond de votre foie ainsi que de la vésicule biliaire.Le citron qui malgré son goût acide est alcalin dans l’organisme, va aussi fluidifier le sang(rendu plus épais par l’alimentation plus riche de l’hiver).
Il est impératif de choisir des citrons BIO.
La cure s’effectue sur 3 semaines. On utilise un citron le premier jour, puis on ajoute un citron chaque jour (donc 2 le deuxième jour, 3 le troisième jour …) jusqu’au 10 ième jour (où vous êtes à 10 citrons). Le 11 ième jour vous restez à 10 citrons puis vous diminuez d’un citron par jour. La cure dure 3 semaines et vous aurez absorbé 100 citrons bio ! Cela explique la puissance de cette cure.

Préparer ma cure

Les citrons se préparent de la façon suivante :
  • Coupez les citrons en deux et mettez les dans une casserole,
  • Recouvrez d’eau froide et couvrez la casserole,
  • Chauffez jusqu’à atteindre l’ébullition, puis laissez bouillir 3min.
  • Retirez du feu et laissez refroidir en écrasant à la fourchette les citrons, de cette façon vous ferez sortir les pépins, la pulpe et les composants présents dans l’écorce),
  • Filtrez le tout afin de ne conserver que le jus, et conservez au frais.
Et voilà c’est prêt, je vous conseille de le boire en début de journée. Si vous êtes sensible à l’acidité du citron, vous pouvez utiliser une paille pour boire (cela évite une gêne au niveau des gencives). Et si vraiment votre estomac n’en peut plus, vous pouvez ajouter un peu de bicarbonate de sodium pour adoucir le goût. N’ajoutez pas de sucre, cela ruinerait vos efforts.
Parmi les nombreux bienfaits de cette cure : le renforcement de l’organisme, un teint plus clair, une meilleure digestion, et une meilleure résistance physique !  Cette cure s’effectue à chaque printemps. Attention elle ne s’adresse pas aux enfants, ni aux adolescents, ni aux femmes enceintes.
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Prendre soin de son cerveau

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Prendre soin de son cerveau

Le cerveau est une machine magnifique. Il fonctionne de façon autonome et on l’oublierait presque, mais 1/5 de notre sang sert à irriguer notre cerveau. Celui-ci se reconfigure constamment. Jamais au repos, il est confronté chaque jour à de nouvelles expériences dont certaines seront intégrées et d’autres oubliées. Sa cellule principale est le neurone. Le cerveau humain en contiendrait environ 90 milliards. Chacun est relié à de nombreux autres. Ainsi la totalité du réseau neuronal établit des millions de connexions. Cela fait de notre cerveau le système le plus complexe de l’univers.

Chouchouter son cerveau, c’est capital

Durant toute notre vie, nous n’aurons pas d’autres neurones que ceux que nous avions à la naissance. Ceux-ci communiquent entre eux via des neurotransmetteurs qui sont des molécules chimiques qui permettent la transmission de l’influx nerveux. Plus de 100 neurotransmetteurs ont été découverts à ce jour, et des liens ont été établis entre le dysfonctionnement des neurotransmetteurs et certaines maladies (Parkinson, Alzheimer, schizophrénie…). On peut ainsi dire que notre cerveau est capital et qu’il faut en prendre soin, le cajoler, le chouchouter…

Adopter une routine sans prise de tête

Pour prendre soin de son cerveau au quotidien, rien de compliqué, mais une routine sans prise de tête et de bons réflexes à adopter pour préserver son bon fonctionnement et améliorer sa qualité de vie. Vous ne savez pas par où commencer, voici quelques idées :

  • faire travailler sa mémoire en s’exerçant au quotidien (mémoriser les numéros de téléphone de vos proches, adresses…)
  • se prendre aux jeux de réflexion (mots croisés, mots fléchés, sudoku…)
  • nourrir son cerveau à l’aide d’aliments bienfaisants*
  • méditer afin de calmer le flot de pensées et accéder à plus de sérénité

*Ses aliments qui vous veulent du bien

Notre alimentation a un rôle clef dans le bon fonctionnement de notre organisme et de notre cerveau. Rien d’étonnant à ce que certains aliments soient plus bénéfiques que d’autres. Parmi nos recommandations :

  • les omégas 3. Manger des poissons gras de petites tailles de préférence, pour éviter les métaux lourds (sardine, maquereau, hareng, anchois, flétan…) ou optez pour des salades d’avocats associées à des huiles bio 1ere pression à froid de colza, noix ou cameline. Abusez des fruits de mer (palourdes, moules, crevettes sauvages, homard…) A défaut, optez pour des suppléments.
  • les aliments riches en précurseur de dopamine (amandes, avocats, bananes, graine de sésame, fromages, viandes, poissons…)
  • le soir, les aliments riches en précurseur de sérotonine (œufs, tomates, avocats, aubergines, bananes, cacao, noix, levure de bière…)

A défaut aidez- vous avec de la tyrosine et ou du griffonia. Ces substances sont métabolisées par votre organisme en neurotransmetteurs et de ce fait, elles amélioreront votre état, votre humeur, et votre capacité cognitive !

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